Dernier jour de 2020 , un lieu commun pour une année pas banale. L'heure des bilans et des bonnes résolutions, alors que demain ne sera que la continuité de la veille. On carpera diem et les roses et les épines à pleines mains si on ne nous parque pas sine die ( j'ai fait latin en Langue Vivante 2, après elle est morte). Je continuerai à abuser des parenthèses, ne vous en déplaise. Je résoluerai d'écrire un billet chaque jour que dieu fait (si le jour est l’œuvre de dieu, la nuit est-elle celle du diable?). Dix ans après, je m'apercevrai que le compte n'y est pas mais je continuera (si dieu me prête vie).
Je devrais me résoudre à appeler Lacan, parce que c'est quand même curieux d'évoquer sans cesse le tout puissant alors que je n'y crois pas.
J'ai essayé d'obtenir un rendez-vous (avec Lacan pas avec Dieu), mais il était indisponible pour cette éternité, alors en attendant la prochaine, je me suis allongée sur mon divan, munie de ma plus belle plume et d'une feuille blanche et j'ai laissé les mots dériver (l'exercice n'est pas inédit pour moi, toi fidèle lecteur tu connais ma propension aux détournements d'idées)
Et même si c'est le dernier billet de ce dernier jour de l'année, je ne me mettrai pas à nu devant vous, en vous livrant tous les secrets de mon inconscient. Et bien sûr là c'est le branle-bas de combat dans mon encéphale. Je fais de l'écriture automatique mentale! Ça promet pour le premier billet du premier jour de la nouvelle année.
Dernier billet
Dans 2020
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