Annonce

barbaraburgos Par Le 04/02/2011 0

Dans Février 2011

A la demande générale, un véritable plébiscite, j'ai réactivé les commentaires en bas des pages "poèmes". N'oubliez pas d'inscrire le code dans la case prévue à cet effet, sans espace, sinon ça ne marche pas. Que ceux qui se reconnaissent lèvent le doigt, puis pensent à le reposer pour cliquer sur envoi !
A tout à l'heure pour le billet du jour, je ne saurais bien évidemment me contenter de cette annonce pratique, sans une once de poésie, un brin de folie. Quoique, en cherchant un peu, les messages à mots sages doivent pouvoir se transformer. Devenir moussage en faisant des bulles de savon (il faudra que je vous présente Chloé, demain peut-être), massage des corps délassés, étendus, face à l'océan déchaîné, soleil et gris de Janvier, meuh sages dans les prés, quand les vaches sont couchées, miss sages dans les pages glacées des magazines écervelés, mue sage quand la métamorphose s'opère en silence. Métissage enfin des mots sans frontière pour reprendre le thème d'hier.
En y réfléchissant bien, dit le miroir, les mots peuvent faire la guerre, les mots peuvent tuer, les mots assassins, meurtriers, Jack l'Eventreur dans les rues de Londres, le mot couteau à la main terrifie la population, un kamikaze à bord d'un avion teste le mot gravitation, ground zero, zéro gravier en lévitation. D'après Robert (un de mes meilleurs amis), kamikaze vient du mot japonais "vent divin", à méditer en buvant un verre di vin.  
Quant aux maudits, maux dits, mots sad, service secret, c'est une autre histoire, je m'égare, retour à la gare en TGV. Tiens voilà aussi motif (chez le coiffeur) à disserter, les sigles envahisseurs, mais il n'est plus l'heure.

 
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